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par cette déclaration et de vous autoriser .à la rendre publique par les'journaux. C'est bien la moindre chose que pour réparer le mal vous pre-. -niez les voies par lesquelles il a été étendu. Je ne ferai pas observer que-citant le nom de d'Epinay -, sans connaître qui que ce fût de la famille, ne soupçonnant pas votre existence et improvisant ' une défense'orale qui vous était bien étrangère, mon intention he peut être attaquée que par des. hommes qui seraient disposés à aggraver mes torts. . Aussi le soin, que vous avez pris de m'en donner l'assurance .et les égards par lesquels vous m'avez prévenu malgré le désavantage de ma position, m!auraient-ils flatté, s'ils n'avaient, par un effet plus • naturel, .augmenté le regret que j'éprouverai longtemps d'avoir fait de la peine à l'homme du monde qui me paraît l'avoir moins méritée.
« Agréez, je vous, prie, Monsieur, l'hommage'de la parfaite considération avec laquelle j'ai l'hon­neur d'être votre très humble et très obéissant serviteur., ■•....
« Signé, Couture, avocat. »
« Pendant que M. Richer-Serisy publiait Y Accu­sateur public, une partie de ma famille était dans